Coucou tout le monde, Bon, j'ai failli à ma promesse. J'ai tout fait pour "ménager la chèvre et le chou", et résultat des courses : la chèvre n'a pas été ménagée, le chou non plus, la chèvre ne vous annonce pas de nouveaux Bidules dans ce billet comme je vous l'avais dit, c'est de la faute du chou ! Enfin, "LES choux" (je vais tout de même mettre de gros guillemets). Les MILLIERS de "choux"... (vous pouvez cliquer ici pour une vidéo - je suis nulle en vidéos, pardon ! - qui vous donnera une petite idée...)
Nous avons essayé de savoir d'où elles venaient, pourquoi elles rentraient. Nous y avons passé du temps, et pendant ce temps, nous en retrouvions de plus en plus. Par chance, cela se limitait aux pièces encore en travaux. Mais nous avons commencé à les retrouver par dizaines. Puis, après un week-end chez des amis, nous sommes revenus... Et en avons retrouvé près de 200. 200 ! Je ne pouvais plus ouvrir mes fenêtres : j'en faisais sortir une, deux autres rentraient. C'était déjà quelque-chose... et cela a commencé à devenir vraiment problématique le jour ou ma petite chienne s'est faite piquer de bon matin.
Heureusement, elle était patraque mais tout s'est bien passé. Elle a continué à vouloir les chasser (quelle bécasse, celle-là !)... car les abeilles ont commencé à envahir les pièces à vivre. Mon atelier a été une des premières pièces a subir "l'invasion", je l'ai déserté le temps de trouver une solution. Nous avons donc contacté des apiculteurs, afin de déterminer l'emplacement de l'essaim. (Et les laisser partir avec, bien sûr !) Précédemment, je vous avais dit que nous rénovions une vieille maison : murs épais, en bois, et toit tout aussi épais. Les surfaces de ceux-ci sont plutôt grandes, et nous n'arrivions pas à trouver ou se situait le problème. Les abeilles rentraient partout ! Habitaient-elles dans les murs ? Le toit ? Nous ne pouvions pas tout démonter... Mission impossible. Nous sommes de grands amis des bêtes. Mais il a fallu se résoudre à appeler quelqu'un pour régler le souci : nous n'allions pas habiter dans une tente et laisser la maison se transformer en ruche géante. Nous avons trouvé un super gars, qui a démoli le plafond de mon atelier (mon plafond tout neuf !!!) pour accéder à l'endroit qu'il soupçonnait être le lieu d'habitation des coquines. Manque de bol, elles squattaient par ici, mais pas uniquement : pas d'essaim, juste quelques rayons. Ce n'est pas un exterminateur : il en a sauvé des milliers (des milliers, sans rire ! Je n'en reviens toujours pas, il y en avait tellement !) pour les relâcher beaucoup plus loin, en espérant avoir eu la reine pour qu'elles ne soient pas paumées. Mais, malheureusement, il a fallu zigouiller les abeilles restantes... :/
Apparemment, elles ne sont pas revenues. Je ne crie pas encore victoire, ça va nous porter la poisse : mais j'ai pu reprendre du service aujourd'hui !
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